Nicolas Jules - Tours Les photos du concert
Chanson
"Aaaaaaaah". Nicolas Jules pousse son premier cri à Poitiers, en 1973.
Sa mère lui met du lait dans la bouche et son père du rock psychédélique dans les oreilles.
Il apprend à parler mais très vite, allez savoir pourquoi, ça ne lui suffit pas pour s'exprimer. Alors il dessine, écrit, fait du théâtre.
18 ans. Des amis d'enfance montent un groupe de rock. "Il paraît que tu as des textes, tu n' veux pas prendre le micro ?". Et Nicolas s'improvise chanteur. C'est l'époque des premiers concerts, paroles en français, musiques mélangées de Stones et de Led Zep. Trois ans plus tard le groupe se sépare mais le virus est contracté. Nicolas se met à la guitare et compose ses premières "vraies" chansons. Il faut dire qu'entre temps il s'est nourri de bien d'autres influences : Brassens, Barbara, Renaud, Tom Waits, Fats Waller ... et puis Michaux, Queneau, Supervielle ... Le train est pris, la voie est bonne.
Ses chansons se peaufinent avec la complicité d'amis musiciens, dont Emmanuelle Bercier qui chante aujourd'hui sous son propre nom. Le plaisir de la scène se fait toujours grandissant. Partout son aisance étonne. "Aaaaaah", il pousse son second cri, un cri de satisfaction.
Plébiscité par les plus grands festivals, le Jules donne des centaines de concerts, sort trois mini-CD autoproduits avant de prolonger l'aventure en solo. Un pari réussi de l'avis de tous. Plus minimales, ses chansons gagnent en force et en émotion. Le 22 septembre 2004, "Le Coeur Sur La Table", son premier album est dans les bacs.
Mais beaucoup de chansons se cachent encore au fond de sa guitare ...
Album live "A l'atelier "
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Encore ? : |
SUR SCENE Premières parties
Rachid Taha, les Ogres de Barback, Mathieu Boogaert, Jacques Higelin, Arno, Tryo, Maxime le Forestier, Paris Combo, Sanseverino, Nilda Fernandez, Sarclo, Jean Louis Aubert , les Têtes Raides, Françoise Breut, Loic Lantoine, Miossec …
Les festivals
1998 et 1999 : Francofolies de la Rochelle
1999 : Découverte du printemps de Bourges, Les Musicales de Bastia
2000 : Les Bars en Trans – Les Transmusicales de Rennes, Les Enchanteurs, le Chainon Manquant, Alors Chante, Les voix-si, les voix-là
2001 : Festival de Marne, Mars en Chanson (Belgique), Paroles et musiques, les Nuits de Champagne
2002 : Festival « Voix de fête » (Genève) Francofolies de la Rochelle
2003 : Festival « les Jeux », Festival « Mythos » (Rennes)
2004 : Chant’appart (vendée), Francofolies de la Rochelle
2005 : Chorus des Hauts de Seine, Alors Chante (Montauban), Paroles et Musiques (Saint Etienne), Chantons sous les Pins (Dax), Printival (Pezenas), Francofolies de la Rochelle
Les prix
1999 : Découverte du Printemps de Bourges (Prix Chanson)
2000 : Alors Chante de Montauban (Prix du Jury)
2005 : Prix Félix Leclerc,
Coup de cœur de l’Académie Charles Cros
Discographie
1998 à 2002 : 3 cinq titres autoproduits (épuisés2000)
2004 : 1er Album « le Cœur sur la Table » Autoprod/Distribution Musicast
Radio/TV
France Inter Pollen les Copains d’abord, le Pont des Artistes, sous les Etoiles exactement, TTC
France 3 Poitiers et la Rochelle, France 5
TV7 Bordeaux, Yvelines Première, Radioceros, France Bleue …
Extraits de presse
« Révélation du festival "Les Jeux", Nicolas Jules (seul en scène avec une guitare) mériterait la victoire du chanteur le plus drôle et le plus attachant de sa génération. Son culot et son aplomb font de lui - à sa manière... - une véritable "bête de scène". »
(A Nous Paris !)
« Provocateur discret, voix de séducteur, cheveux en bataille, Nicolas Jules charme les oreilles avec un joli cocktail de tendresse et de dérision, d'humour et de poésie. Il aime à l'évidence jouer avec les mots, immiscer dans notre banale réalité un décalage bienfaiteur, des p'tites bulles de rien du tout qui aident à se lever le matin. »
(Aden, Le Monde)
« Retenez bien le nom de Nicolas Jules. Gueule d'ange, il eut pu triompher dans une chanson médiatique et insipide. Par bonheur, il nous en invente une autre, sensible et déjantée. (...) le chanteur a allumé le Magic-Mirrors hier au soir d'une chanson nouvelle et fraîche qu'on aimerait entendre à nouveau. Lui est terrien, sa chanson est terrible. »
(Michel Georges, La Tribune, Le Progrès)
« Entre Woody Woodpecker (pour la coiffure en bataille), Jacques Dutronc (pour la dérision provocatrice) et Gribouille (pour l’aisance lunatique), encore un solitaire à la tendresse déjantée et au charme caustique. »
(Valérie Lehoux, Télérama)
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